Il s’agissait en même temps de s’intéresser à la résilience des produits conçus par les ingénieurs comme la Tour de Pise… car le congrès était couplé à celui des ingénieurs en génie civil mais aussi de s’intéresser à la formation des ingénieurs à la résilience et aux compétences associées.
Le choix de Florence, berceau de l’ingénierie (Galilée, Leonard de Vinci) n’était pas anodin car la résilience après les inondations dont la dernière date de 2012 s’y est révélée cruciale.
Durant la session plénière la prise en compte des risques naturels grâce aux nouvelles technologies (l’ingénieur 4.0) intégrant le fonctionnement de l’opinion publique a montré un véritable dilemme ; les propositions de nouveaux sujets ou nouvelles méthodes d’enseignement ont été riches et nombreuses.
Le congrès s’est complété d’un séminaire ABET et ENAEE car les agences se doivent de suivre de près ces évolutions. ENAEE a présenté les « Best Practice in Engineering Programme Accreditation » élaborées avec l’IEA.
On peut regretter la très faible participation des écoles françaises à ce type de congrès mondial organisé pour une fois près de chez nous…
Les actes sur www.weef2015.eu