Arrêté du 19 février 2016

NOR : MENS1526349A

La ministre de l’environnement, de l’énergie et de la mer, chargée des relations internationales sur le climat, la ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, le ministre de la défense, le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du Gouvernement, le ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique et le secrétaire d’Etat chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche,
Vu le code de l’éducation, notamment ses articles L. 642-1 à L. 642-12 et D. 642-1 et suivants;
Vu les avis et décisions de la commission des titres d’ingénieur,
Arrêtent :

Art. 1er. – Les établissements mentionnés dans les tableaux 1 et 2 ci-après sont accrédités à délivrer le ou les titres d’ingénieur diplômé y figurant (situation au 1er septembre 2015).

Art. 2. – Les diplômes délivrés par les établissements mentionnés dans le tableau 3 ci-après sont admis par l’Etat. Les titulaires de ces diplômes sont autorisés à porter en France le titre d’ingénieur diplômé, suivi du nom de l’école et du pays d’origine.

Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.

Intervention de Laurent Mahieu à la journée « relations internationales » de la Conférence des ITII

La Conférence des ITII regroupe l’ensemble les 23 Instituts des Techniques d’Ingénieur de l’Industrie. Ces ITII sont partenaires d’une cinquantaine de cursus de formation d’ingénieurs sous statut d’apprenti ou par la formation continue qui diplôment chaque année plus de 1500 apprentis et stagiaires.
La CTI a été invitée le 6 novembre à présenter ses références et son point de vue sur les questions relatives à la dimension internationale dans la formation des ingénieurs.

L’insertion des jeunes diplômés de la promotion 2014

Comme chaque année, l’Apec a mené une enquête auprès de 4750 jeunes diplômés de niveau Master 2 et plus de la promotion 2014 pour connaître, à un peu moins d’un an (le terrain a été réalisé en avril 2015) leur devenir professionnel.
Rappelons que l’Apec réalise également des enquêtes à deux ans qui permettent d’évaluer de façon plus « stabilisée ».